Le Métro Parisien

Cinquième Entrée :

Aujourd’hui, le métro de Paris est compris de 301 stations et de 385 couloirs. Guimard, l’architecte originale du métro, a conçu deux types d’entrées : avec et sans de toits de verre. Fabriquées en fonte, les entrées représentent le symbolisme des plantes. Il y a eu 141 d’entrées construites entre 1900 et 1912, dont 86 existent à ce jour. Les édicules présentent un auvent de verre en forme d’éventail et un enclos décoré avec des thèmes floraux. L’autre type d’entrée est plus simple. Elle est encadrée d’un panneau qui dit « Métropolitain » qui est entre deux réverbères ornés. Les réverbères sont presque en forme de tiges de plantes, où la lampe orange est entourée par une feuille. Cassien-Bernard a conçu des nouvelles entrées de stations en maçonnerie néo-classique.

Il y a eu (et toujours y a) de différents styles dans le métro. Le premier était le style CMP, où les couloirs souterrains étaient très austères. Les stations sont faites de simples tuiles blanches, quelques bancs de bois et un kiosk au milieu du quai. Dans peu d’années, il y aurait des panneaux d’affichages de publicité et de machines de bonbons. Le style du Nord-Sud avait des stations plus décorées à l’intérieur que celle du CMP. Des tuiles complémentaires ont été mises : marron pour des stations normales, vert pour les terminales et transferts, et puis bleu pâle pour la station Madeleine. Ces couleurs correspondaient aux panneaux, plaques, et couloirs de la station. Les noms des stations étaient décorés en mosaïques de grandes tuiles avec des lettres en blanc sur un fond bleu. Il n’en reste pas beaucoup de stations avec les tuiles originales du style Nord-Sud.

Après ce style, il y a eu un autre style CMP entre la guerre, puis le style du carrossage où l’on mettait des tubes fluorescents et des lambris en métal (carrossages) au long des stations pour couvrir les vieilles tuiles. Il a existé aussi le style de Mouton-Duvernet où sa signature était la couleur orange dans des tons panachés, et le style Andreu-Motte où l’on a introduit des couleurs à plusieurs stations comme le jaune, le rouge, le vert, le bleu, et l’orange. Après ceux-ci, le style Ouï-dire et le style Météor (les murs en acier, pierre, et verre dépoli, et les sols en marbres), et le Style Bruno-Gaudin (où la quantité de lumières dans les stations sont maximisés et la couleur orange variante est présente) ont finit l’histoire des styles de métro. Il n’y a pas beaucoup de personnes qui reconnaissent cette chronologie, mais n’avez-vous vous jamais demander quand vous étiez sur le train, ce que c’était son histoire ?