Le Pont Alexandre III

Sixième Entrée:

Le Pont Alexandre III est un pont au-dessus de la Seine à Paris, qui unit le 7^ème et 8^ème arrondissements de Paris. Réalisé en acier moulé avec une longueur de 154m et une largeur de 45m, la construction de ce pont à été décidée en 1896. La construction n’a pris que trois ans, et faite entièrement métallique. Le pont fut bâti pour montrer l’alliance franco-russe. Il relie la promenade des Invalides à l’avenue Wilson Churchill qui se suit par les Champs-Élysées. Cela passe devant les deux palais (le petit et le grand) qui ont été construits aussi pour l’Exposition Universelle de 1900.

            À chaque coin du pont (il y en a quatre), il se trouve une statue dorée qui se repose sur une colonne carrée. Ces quatre statues représentent les Renommées, dont une renommée est une divinité grecque allégorique. Elles sont : la Renommée des arts, la Renommée d’agriculture, la Renommée au combat, et la Renommée de la guerre. Ces quatre colonnes qui tiennent les Renommées ont chacun un thème : la France au Moyen Âge, la France à la Renaissance, la France sous Louis XIV et la France moderne. Il y a aussi deux nymphes sur le pont : une est la Nymphe de la Seine située en aval, qui porte les armes de Paris, puis celle qui regarde en amont qui est la Nymphe de la Néva, qui porte les armes de la Russie. Dans les entrées du pont, il se situe des lions qui sont guidés par des enfants. Le pont Alexandre III est merveilleux avec toutes ses décorations.

Le Métro Parisien

Cinquième Entrée :

Aujourd’hui, le métro de Paris est compris de 301 stations et de 385 couloirs. Guimard, l’architecte originale du métro, a conçu deux types d’entrées : avec et sans de toits de verre. Fabriquées en fonte, les entrées représentent le symbolisme des plantes. Il y a eu 141 d’entrées construites entre 1900 et 1912, dont 86 existent à ce jour. Les édicules présentent un auvent de verre en forme d’éventail et un enclos décoré avec des thèmes floraux. L’autre type d’entrée est plus simple. Elle est encadrée d’un panneau qui dit « Métropolitain » qui est entre deux réverbères ornés. Les réverbères sont presque en forme de tiges de plantes, où la lampe orange est entourée par une feuille. Cassien-Bernard a conçu des nouvelles entrées de stations en maçonnerie néo-classique.

Il y a eu (et toujours y a) de différents styles dans le métro. Le premier était le style CMP, où les couloirs souterrains étaient très austères. Les stations sont faites de simples tuiles blanches, quelques bancs de bois et un kiosk au milieu du quai. Dans peu d’années, il y aurait des panneaux d’affichages de publicité et de machines de bonbons. Le style du Nord-Sud avait des stations plus décorées à l’intérieur que celle du CMP. Des tuiles complémentaires ont été mises : marron pour des stations normales, vert pour les terminales et transferts, et puis bleu pâle pour la station Madeleine. Ces couleurs correspondaient aux panneaux, plaques, et couloirs de la station. Les noms des stations étaient décorés en mosaïques de grandes tuiles avec des lettres en blanc sur un fond bleu. Il n’en reste pas beaucoup de stations avec les tuiles originales du style Nord-Sud.

Après ce style, il y a eu un autre style CMP entre la guerre, puis le style du carrossage où l’on mettait des tubes fluorescents et des lambris en métal (carrossages) au long des stations pour couvrir les vieilles tuiles. Il a existé aussi le style de Mouton-Duvernet où sa signature était la couleur orange dans des tons panachés, et le style Andreu-Motte où l’on a introduit des couleurs à plusieurs stations comme le jaune, le rouge, le vert, le bleu, et l’orange. Après ceux-ci, le style Ouï-dire et le style Météor (les murs en acier, pierre, et verre dépoli, et les sols en marbres), et le Style Bruno-Gaudin (où la quantité de lumières dans les stations sont maximisés et la couleur orange variante est présente) ont finit l’histoire des styles de métro. Il n’y a pas beaucoup de personnes qui reconnaissent cette chronologie, mais n’avez-vous vous jamais demander quand vous étiez sur le train, ce que c’était son histoire ?

Baron Haussmann et Haussmannisation

Quatrième Entrée

Baron Haussmann a été nommé par Napoléon III le 22 juin, 1853, pour moderniser Paris.  Napoléon a fait cela dans l’espoir d’une circulation meilleure que celle d’avant, de l’encouragement sur l’expansion économique, et pour résister la chance d’une autre révolution avec les barricades. Haussmann a accompli ces choses par détruire les vieux, sinueux, et ruinés immeubles résidentiels, en les remplaçant avec des larges boulevards bordés d’arbres, et avec des jardins grandioses. Aujourd’hui, Paris est célèbre pour toutes ces nouvelles architectures.

En cours de la fabrication de Paris, 20 000 maisons ont été anéanties, et plus de 40 000 ont été édifiés entre 1852 et 1872. Pendant ce temps, la Gare de Lyon et la Gare du Nord ont été reconstruites. Aussi, des arrondissements pour la ville ont été élaborés, et des places ont été construites.  Rue Saint-Denis, par exemple, a été conçue pour passer directement à travers beaucoup de bâtiments existants. Ces immeubles, en plus d’autres rues, ont été anéantis pour créer la Rue Saint-Denis. Maintenant, cette rue est considérablement plus large que d’autres rues. Les vieilles rues devaient êtres remplacés. Elles étaient étroites, humides, et sales. Elles encourageaient des émeutiers, n’avaient pas de trottoir, et souvent contenaient de déchets, qui les faisaient presque impossibles à passer. Haussmann a démoli des rues comme ce-ci et en faveur, a élevé des rues plus larges et ventilées pour que les bourgeois se promènent et friment leur argent, créant une économie en plein essor.

À cause de Haussmannisation, le temps des 1860s était très problématique. Un énorme nombre de Parisiens étaient troublés par la destruction de vieilles racines. Les citoyens se séparaient l’un de l’autre, et la destruction physique de Paris a aussi détruit la partie sociale de la ville.  C’était un temps de bouleversement. Haussmann a été très critiqué pour l’immense prix de son projet, donc Napoléon l’a viré le 5 janvier 1870. Il y a deux points de vue sur Baron Haussmann : le premier est un homme qui a complètement détruit la vielle Paris, et le deuxième est celle d’un homme qui a créé une nouvelle Paris.